Pourquoi certains humains œuvrent dans le cadre de la propriété intellectuelle, voir de la propriété « tout court » alors que d'autres font la promotion du partage, de l'échange et des logiciels libres ?
un autre terme qui exprime bien mieux la notion de « propriété » et la privatisation. Elle se repose sur la notion de « bien » qui appartient à un détenteur ou une détentrice de « droits » sur son (ou ses) bien(s). Que cette « personne » soit une personne physique (un être humain) ou une personne morale (une entreprise), cela ne fait aucune différence. Elle exerce sur son bien, des droits qui sont régis par une législation donnée, communale, régionale ou internationale.
L'exemple de la serrure et de la clé est suffisant pour exprimer ce qu'est un droit d'accès. Sans la clé, point d'accès. Plusieurs questions se posent dés lors; Qui détient la (ou les) clés ? et Comment sont distribués les droits d'en faire usage ?.
En tant que détenteur ou détentrice d'une clé, vous disposez d'un contrôle ou d'un pouvoir sur un bien dont vous ou votre entreprise en détient la légitimité d'en distribuer ou non l'usage.
Pouvoir contrôler un accès à un bien, est par définition une forme d'expression d'un pouvoir qu'il est possible d'exercer sur autrui. Ou plus justement sur un bien dont vous seriez détenteur des droits d'accès ou d'usage et indirectement sur ceux et celles qui pourraient en bénéficier.
Certains et certaines d'entre nous, les humains, sont disposé à partager l'accès dont ils ou elles disposeraient sur un bien ou un ensemble de biens. Pourquoi d'autres ne le sont pas, est une question existentielle au sein de la communauté humaine.